Zola aime le contraste. Il vient de mettre en scène la sauvagerie des paysans dans La Terre et s’apprête à réveiller La bête humaine, mais entre ces horreurs, le seizième roman des Rougon-Macquart, Le Rêve, publié en 1888, s’avère pour le moins angélique. Voici ce que j’en ai pensé :