Il est des livres qu’on lit pour leur titre, celui-là en est un. Mais bien sûr, La désobéissance, ce n’est pas qu’un titre, c’est un roman d’apprentissage, car on n’apprend vraiment qu’en désobéissant, écrit en 1948 par Alberto Moravia, et traduit de l’italien par Michel Arnaud pour les éditions Denoël en 1949.